mardi 30 juin 2020
dimanche 28 juin 2020
mercredi 24 juin 2020
Chanson "Can't Help Falling In Love" Elvis Presley basée sur "Plaisir d'amour'"
Elisabeth Schwarzkopf - Plaisir d'amour (Martini)
mardi 23 juin 2020
lundi 22 juin 2020
dimanche 21 juin 2020
vendredi 19 juin 2020
Souvenir vague ou les parenthèses (Musique Patrice Pertuit)
Poème Edmond Rostand
Musique et accompagnement : Patrice Pertuit
Site de Patrice Pertuit (créations musicales)
Chaîne You tube :
Souvenir vague ou les parenthèses
Nous étions, ce soir-là, sous un chêne superbe
(Un chêne qui n'était peut-être qu'un tilleul)
Et j'avais, pour me mettre à vos genoux dans l'herbe,
Laissé mon rocking-chair se balancer tout seul.
Blonde comme on ne l'est que dans les magazines
Vous imprimiez au vôtre un rythme de canot ;
Un bouvreuil sifflotait dans les branches voisines
(Un bouvreuil qui n'était peut-être qu'un linot).
D'un orchestre lointain arrivait un andante
(Andante qui n'était peut-être qu'un flon-flon)
Et le grand geste vert d'une branche pendante
Semblait, dans l'air du soir, jouer du violon.
Tout le ciel n'était plus qu'une large chamarre,
Et l'on voyait au loin, dans l'or clair d'un étang
(D'un étang qui n'était peut-être qu'une mare)
Des reflets d'arbres bleus descendre en tremblotant.
Et tandis qu'un espoir ouvrait en moi des ailes
(Un espoir qui n'était peut-être qu'un désir),
Votre balancement m'éventait de dentelles
Que mes doigts au passage essayaient de saisir.
Votre chapeau de paille agitait sa guirlande
Et votre col, d'un point de Gênes merveilleux
(De Gênes qui n'était peut-être que d'Irlande),
Se soulevait parfois jusqu'à voiler vos yeux.
Noir comme un gros paté sur la marge d'un texte
Tomba sur votre robe un insecte, et la peur
(Une peur qui n'était peut-être qu'un prétexte)
Vous serra contre moi. - Cher insecte grimpeur !
L'ombre nous fit glisser aux chères confidences ;
Et dans votre grand oeil plus tendre et plus hagard
J'apercevais une âme aux profondes nuances
(Une âme qui n'était peut-être qu'un regard).
Edmond Rostand
jeudi 18 juin 2020
Aux marches du Palais
Chanson interprétée par Christine
dédiée à Carole
dédiée à Carole
source karaoke :
Aux marches du Palais
Aux
marches du palais ( bis )
Y'a une tant belle fille, lon, la,
Y'a
une tant belle fille.
Elle
a tant d'amoureux ( bis )
Qu'ell' ne sait lequel prendre, lon,
la,
Qu'ell' ne sait lequel prendre.
C'est
un p'tit cordonnier ( bis )
Qu'a eu sa préférence, lon, la,
Qu'a
eu sa préférence.
Et
c'est en la chaussant ( bis )
Qu'il lui fit sa demande, lon,
la,
Qu'il lui fit sa demande.
La
bell' si tu voulais ( bis )
Nous dormirions ensemble, lon,
la,
Nous dormirions ensemble.
Dans
un grand lit carré ( bis )
Garni de toile blanche, lon, la,
Garni
de toile blanche.
Aux
quatre coins du lit ( bis )
Un bouquet de pervenches, lon, la,
Un
bouquet de pervenches.
Dans
le mitan du lit ( bis )
La rivière est profonde, lon, la,
La
rivière est profonde.
Tous
les chevaux du roi ( bis )
Pourraient y boire ensemble, lon,
la,
Pourraient y boire ensemble.
Et
là nous dormirions ( bis )
Jusqu'à la fin du monde, lon,
la,
Jusqu'à la fin du monde.
mercredi 17 juin 2020
mardi 16 juin 2020
lundi 15 juin 2020
La mort de l'Automne (Musique : Patrice Pertuit)
Texte de Jean Richepin mis en musique par Patrice Pertuit
Site de Patrice Pertuit (créations musicales)
Chaîne You tube :
Au vent du nord
Qui le bâtonne,
Le pauvre Automne
Fuit sans remords.
Le vent du Nord,
Lui, dans sa tonne
Se pelotonne
L'Automne est mort.
Et son glas tinte
Comme une plainte
Dans les derniers
Refrains de fête,
Adieu, paniers !
Vendange est faite.
Jean Richepin
samedi 13 juin 2020
vendredi 12 juin 2020
jeudi 11 juin 2020
mercredi 10 juin 2020
dimanche 7 juin 2020
vendredi 5 juin 2020
Premier sourire du printemps (Théophile Gautier)
Premier sourire du printemps
Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses,
Prépare en secret le printemps.
Pour les petites pâquerettes,
Sournoisement lorsque tout dort,
II repasse des collerettes
Et cisèle des boutons-d’or.
Dans le verger et dans la vigne,
II s’en va, furtif perruquier,
Avec une houppe de cygne,
Poudrer à frimas l’amandier.
La nature au lit se repose ;
Lui, descend au jardin désert
Et lace les boutons de rose
Dans leur corset de velours vert.
Tout en composant des solfèges
Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
II sème aux prés les perce-neige
Et les violettes au bois.
Sur le cresson de la fontaine
Où le cerf boit, l’oreille au guet,
De sa main cachée il égrène
Les grelots d’argent du muguet.
Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
II met la fraise au teint vermeil,
Et te tresse un chapeau de feuilles
Pour te garantir du soleil.
Puis, lorsque sa besogne est faite,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
II dit : « Printemps, tu peux venir ! »
Théophile Gautier
jeudi 4 juin 2020
mercredi 3 juin 2020
mardi 2 juin 2020
film "Take the lead"
Synopsis : Pierre Dulaine est professeur de danse de salon à Manhattan. Quand il décide d'enseigner son art aux élèves d'un lycée difficile, il est le seul à croire à ce projet. La principale ne pense pas qu'il puisse intéresser les élèves et ces derniers ne voient pas vraiment l'intérêt d'apprendre le merengue. Ensemble, entre tradition et hip-hop, ils vont créer une nouvelle forme de danse.
lundi 1 juin 2020
Dépêchons-nous de nous aimer (Leny Escudéro)
Dépêchons nous de nous aimer
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Dépêchons nous de nous aimer
Les temps ignore les fontières
Notre amour ne peut empêcher
Le temps de franchir ses barrières
Dépêchons nous de nous aimer
Au jour de la première ride
La mort est toujours invitée
Si entre nous la place est vide
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Que notre amour ne voit plus rien
Ne voit plus rien qui n'est pas nôtre
Qu'il ne suive pas les chemins
Des bons ou des mauvais apôtres
Qu'à l'heure du dernier baiser
A l'heure des vaines espérances
Au fond de toi aucun regret
Ne vienne troubler le silence
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Ne songe plus aux jours passés
Songe que demain viendra peut-être
Mais qu'hier c'est déjà jamais
Tu ne le verras plus paraître
Dépêchons nous de nous aimer Jusqu'au jour de l'heure dernière
Pour que nous puissions murmurer
Je t'aime comme ultime prière
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Pourtant je sais un jour viendra
Nul ne saura plus notre histoire
Même un amour ne pourra pas
Nous réveiller dans la nuit noire
Dépêchons nous de nous aimer
Que ce soit notre ultime chance
De vaincre enfin l'éternité
Qui creuse le trou de l'absence
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Les temps ignore les fontières
Notre amour ne peut empêcher
Le temps de franchir ses barrières
Dépêchons nous de nous aimer
Au jour de la première ride
La mort est toujours invitée
Si entre nous la place est vide
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Que notre amour ne voit plus rien
Ne voit plus rien qui n'est pas nôtre
Qu'il ne suive pas les chemins
Des bons ou des mauvais apôtres
Qu'à l'heure du dernier baiser
A l'heure des vaines espérances
Au fond de toi aucun regret
Ne vienne troubler le silence
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Ne songe plus aux jours passés
Songe que demain viendra peut-être
Mais qu'hier c'est déjà jamais
Tu ne le verras plus paraître
Dépêchons nous de nous aimer Jusqu'au jour de l'heure dernière
Pour que nous puissions murmurer
Je t'aime comme ultime prière
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Pourtant je sais un jour viendra
Nul ne saura plus notre histoire
Même un amour ne pourra pas
Nous réveiller dans la nuit noire
Dépêchons nous de nous aimer
Que ce soit notre ultime chance
De vaincre enfin l'éternité
Qui creuse le trou de l'absence
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
Notre vie est une seconde
Entre l'éternité des deux mondes
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